Non !
La politique d'injection de produits encore en phase experimentale est d'une perversité typique des pratiques managériales de type départ "volontaire" lors des plans dits sociaux : obliger les personnes à prendre elles-mêmes des décisions qu'elles savent nocives pour elles.
Alors que les médecins pratiquant des soins précoces à base des molécules anciennes dont les effets indésirables sont bien connus et donc maîtrisables sont soumis à des menaces de l'ordre, une nouvelle technologie génique est expérimentée sur des millions de personnes sans la moindre connaissance des effets à court, moyen et long terme.
En violation complète des dispositions prises après la seconde Guerre mondiale et les expérimentations médicales atroces commises par les totalitarismes.
Au risque de provoquer des mutations du Coronavirus rendant encore plus compliquée la lutte contre le COVID-19.
Incapables de convaincre rationnellement les pouvoirs politiques et médiatiques mènent une campagne de peur et de désinformation depuis des mois et multiplient les contraintes absurdes sur les libertés se rapprochant de ce qui caractérise les régimes totalitaires avec l'emploi simultané de l'idéologie ( ici un sanitarisme visant non la bonne vie mais l'évitement de toute maladie) et de la terreur ( la mort sans soin à domicile ou en réanimation dans des hôpitaux saturés ).
Des soignants en viennent à maltraiter des citoyens transformés en futurs malades encombrants pour, eux, être enfin soulagés d'un poids rendu trop lourd par l'abandon des soins précoces.
Des enfants en viennent à mettre la pression sur leurs parents pour qu'ils se fassent "vacciner" pour qu'ils puissent, eux, être tranquillisés.
Quand les enfants sont des soignants les effets peuvent se cumuler.
Incapables de lire, le nez dans le guidon, les uns et les autres perdent toute rationalité et ne voient pas, comme dans la nouvelle d'Edgar Poe, la lettre volée qui est sous leurs yeux : la vaccination de masse n'entraîne aucune levée des contraintes, ne démontre aucun effet positif à ce stade et entraîne déjà des effets négatifs pouvant aller jusqu'à la mort.
Les sociétés, les familles et les individus sont entraînés dans une bouffée délirante qui peut les détruire.
Un seul mot a le pouvoir de stopper cet enchaînement totalitaire :
NON !