Que vivons-nous ? (1)
Que vivons-nous depuis l'hiver 2019 ? Avec, successivement, le chaud et le froid autour du Coronavirus. Les périodes de confinement et de couvre- feu. L'arrivée des "vaccins" et l'invention des pass (pourquoi l'absence du e) sanitaire et vaccinal. La campagne contre ceux qui refusaient l'injection consentie et librement éclairée. L'obligation vaccinale pour les soignants et les aidants puis la suspension, sans salaire et toujours active, des réfractaires. Le conseil de défense. L'état d'urgence. Les élections municipales, présidentielles et législatives. L'invasion de l'Ukraine par la Russie et la réaction délirante des occidentaux. Des sanctions boomerang. L'annonce de pénuries d'énergie. La sécheresse. La censure, la russophobie, la mise au ban de tous ceux refusant les récits officiels. La vérité disparue, le mensonge partout. La langue confisquée et massacrée. Le déni des variants puis leur utilisation comme vagues vaccinales. La disparition de toute logique. Les chiffres partout, trafiqués et masqués.
Un monde sombrant dans la folie !
Une maltraitance institutionnalisée !
Le règne des doubles contraintes !
Le mensonge et la manipulation !
La soumission de la majorité !
Le retour des délateurs !
Et, j'oubliais, le symbole le plus visible : le port d'un masque inutile et même nuisible pour la santé, mais si précieux pour réduire notre humanité en nous transformant en playmobil sans bouche, sans nez, sans sourire ni grimace !
Une accélération de l'histoire avec la convergence et la collision de toutes les tendances perceptibles depuis la fin de la guerre du Vietnam.
une accélération qui nous immobilise dans un présent sans passé ni futur, d'où toute pensée semble rejetée.
La frontière entre les humains et la nature violée par les délires wokistes transformant les humains en une espèce animale, faite d'individus identiques, la séparation entre sexes étant même rejetée.
Nous sommes sans visage mais nos ennemis exhibent les leurs dans les médias : des valets médiatiques, des experts idiots et corrompus, des politiques dépassés et arrogants aux quelques cinglés ayant trouvé dans l'informatique le mode de gouvernement, ou plutôt de mise à jour d'individus sans âme ni visage.
Animaux ou robots semble être la dernière question ?