24 juillet : journal d'un récalcitrant (7)
Le pass sanitaire est la combinaison d'une ignominie politique, d'une idiotie sanitaire et d'un crime médical.
Ignominie politique avec la création d'un régime d'apartheid et une nouvelle avancée vers la dictature et le totalitarisme.
Idiotie sanitaire ne prenant pas en compte les données des pays les plus vaccinés sur la contagiosité et la létalité du variant delta et sur l'absence de protection des vaccins par rapport à ce variant.
Crime médical puisque restent interdits les traitements précoces de plus en plus nombreux et efficaces à partir du repositionnement d'anciennes molécules
Le silence vaut complicité.
Par facilité de langage j'emploie le terme vaccin mais il ne s'agit toujours pas de vaccins.
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Les gens de gauche se caractérisent par une suffisance sans bornes et, c'est logique, une paresse intellectuelle immense.
Incapables de mettre en cause la doxa sur les vaccins, y compris la propre fille de Bernard Stiegler qui dans son dernier échange avec Ruffin ne mentionne à aucun moment les traitements précoces et le renforcement de l'immunité naturelle.
Le concept de prolétarisation énoncé par Bernard Stiegler, c'est-à-dire la perte des savoir-faire, des savoirs, des savoir-vivre dans les sociétés automatiques qui se mettent en place depuis le début du numérique peut pourtant parfaitement recouvrir le remplacement de l'immunité naturelle par l'immunité artificielle.
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Le bracelet électronique politique, tel devrait être le vrai nom du pass sanitaire, instrument de domestication du bétail humain que nous sommes pour ses concepteurs.
Ne manque plus que le marquage au fer rouge anticipé sous forme de pins par des élus en plein délire.
En refusant d'être marqués vous manifestez votre dignité d'être humain.
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Ceux qui, sans obligation impérative, fréquentent les lieux où est exigé le pass sanitaire sont complices de l'instauration d'un régime d'apartheid.
La France bientôt au banc des nations comme, en son temps, l'Afrique du Sud ?
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Familialement et politiquement nous sommes confrontés à la loi du silence.
Le silence face à des soupçons de violence paternelle sur mineurs.
Le silence face à la mise en place d'un régime d'apartheid.
Dans les deux cas se taire c'est être complice.
Dans les deux cas parler c'est risquer des ruptures, des incompréhensions, une forme d'isolement.
Un seul critère est suffisamment solide pour affronter, en même temps, ces deux situations : l'accord avec soi-même indispensable à toute vie pour qu'elle soit réellement humaine.
J'ai choisi de parler.
Et ce matin ... la vie me paraît bien difficile.
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